Découvrez chaque mois de nouveaux articles sur l'actualité liée à la qualité et à la sécurité des soins, par spécialité : médecin, chirugien, chirurgien-dentiste, sage-femme...
Les articles scientifiques publiés commencent à se multiplier sur les lois en cours de vote et les effets des énormes coupes budgétaires décidées par le nouveau gouvernement du président Trump sur la santé (Galewitz 2025, Sanger 2025). Les conséquences se lisent déjà dans plusieurs secteurs, y compris dans des pays limitrophes.
La gestion des ruptures d’approvisionnement médicamenteux est un problème complexe qui réclame une stratégie collective. L’expérience du Royaume-Uni ressemble beaucoup à la nôtre…
L’amélioration de la qualité en médecine se heurte souvent au besoin de l’institution de soigner plus de volumes de patients pour satisfaire la demande médicale, et cette situation s’est encore aggravée avec les problèmes de déficit chroniques en ressources humaines (et parfois techniques). Pour autant, il faut être pragmatique et apprendre à faire avec cette situation pour éviter - ou tout au moins réduire - les événements indésirables (EI). À ce titre, apprendre de l’expérience indienne, placée en situation extrême de contraintes, peut offrir des pistes concrètes pour renforcer une logique d’engagement collectif.
Le 3e Congrès de la Prévention Médicale s’est tenu le 28 mars 2025 à Paris. Le thème : "Déserts médicaux, pénuries de soins : risques, perspectives, opportunités".
Retrouvez ici les replays des conférences et des ateliers qui ont rythmé cette journée.
La communication est parfois perçue comme un effet de mode. Elle est néanmoins bien mieux que cela. La communication interpersonnelle est en effet, plus que jamais, un élément fondamental du classique contrat tacite de soins lors de la consultation du vétérinaire.
Les outils de communication permettent de montrer au quotidien une meilleure compréhension des émotions et une maîtrise du langage des chiens et des chats. Les propriétaires apprécient les interventions en salle d’attente et l’engagement du vétérinaire dans les interactions avec leur animal.
Les patients doivent être identifiés comme population à risque de burnout. Cet état d’épuisement psychologique s’explique essentiellement par leur exposition aux effets du stress liés à leur prise en charge. Les malades touchés par ce burnout doivent être détectés pour permettre une évaluation de la situation et déterminer les actions qui seraient propices à le diminuer.
La complexité croissante des soins et les difficultés d’accès au système de santé rendent l’autonomie du patient dans sa prise en charge de plus en plus indispensable. Pourtant, de nombreux écueils persistent pour évaluer ces capacités de compréhension, qui sont influencées par de nombreux facteurs.
L’esprit critique est l’outil intellectuel incontournable du praticien qui veut aujourd’hui accomplir ses actes avec compétence et efficacité, au meilleur bénéfice des animaux, de leurs propriétaires, de la science et de la médecine vétérinaires.
La question n’est pas nouvelle, et les expressions associées sont récurrentes dans les articles publiés sur ce sujet depuis presque 20 ans (le terme de "bad apple" notamment). Pour autant, le risque ne se résorbe pas, il a plutôt tendance à augmenter. Le manque de performance des médecins - au sens de leur capacité clinique et humaine logiquement attendue face à un patient - peut évidemment avoir des conséquences importantes sur la sécurité des patients. Cet article reprend, en le développant, le contenu d’un éditorial réagissant sur ce thème et paru dans le British Medical journal Quality and Safety (Martinez, 2025).