Retrouvez tous les cas cliniques en chirurgie dentaire.
Dans le cas que nous vous présentons, un chirurgien-dentiste a manqué de vigilance dans les soins du fait d'un manque d'attention. En l'occurrence, il venait d'apprendre de son patient le décès d'une connaissance. C'est l'occasion de rappeler le possible impact d'une charge émotionnelle sur la qualité des soins.
La mise en place d’une analgésie et/ou d’une sédation ne dispense pas d’un examen clinique préalable, consigné par écrit, qui servira de point de référence et guidera une éventuelle prise en charge en cas de problème. Comme pour tout geste médical, le rapport bénéfice/risque doit être évalué afin d’éviter de transformer une situation encore contrôlable en une situation où les effets iatrogènes sont lourds de conséquences. Ces actes doivent être réalisés par des professionnels, formés au sein de structures habilitées.
Une patiente se rend chez un praticien pour un lambeau déplacé apicalement. Le lendemain, elle présente un œdème facial et en informe le chirurgien-dentiste par e-mail.
Des avulsions dentaires erronées peuvent malheureusement se produire durant des interventions. Celles-ci sont liées à différents facteurs pouvant influencer l’erreur du chirurgien-dentiste. Il est donc important que le praticien soit attentif à la moindre information afin d’éviter toute confusion possible.
Les urgences médicales en cabinet dentaire représentent des situations cliniques imprévues pouvant mettre en cause le pronostic vital du patient. Ces situations sont rares et, de ce fait, l’équipe est souvent mal préparée à y faire face.
En 2008, une patiente consulte son chirurgien-dentiste car elle présente un bridge vétuste. En 2020, le traitement dentaire n'était toujours pas achevé... Que s'est-il passé au cours de ces 10 années ?
Cas clinique chirurgien-dentiste : un patient de 17 ans consulte en urgence sa dentiste pour une douleur violente dans la région de l’incisive latérale supérieure gauche. La dentiste reçoit le patient et pratique son examen...
Le cas clinique suivant présente le cas d'un patient de 50 ans pour lequel il est prévu la pose d’un implant en site de 26 (première molaire permanente supérieure gauche).
Suite à des soins dentaires à visée esthétique, une patiente se plaint de douleurs inexpliquées. Il faudra huit ans pour poser le diagnostic. Découvrez l'analyse de ce cas clinique.
Une femme de 55 ans, allergique aux pénicillines, est suivie depuis janvier par le chirurgien-dentiste pour une parodontopathie.
En juin, le praticien décide d'extraire la dent 48 (dent de sagesse inférieure droite).