Cet outil d'auto-évaluation concerne toute pratique ambulatoire qu’elle soit médicale (médecins, dentistes, sages-femmes...) pharmaceutique ou paramédicale voire même vétérinaire.
Si les établissements de santé et d’hébergement ont bien progressé dans la mise en œuvre de stratégies de gestion des risques grâce aux différentes procédures de certification et d’évaluation externe, il n’en est pas de même pour les soins en ambulatoire. Alors même que le décret du 25 novembre 2016 fait obligation à tous les professionnels de santé de déclarer sur un portail national (et de gérer) les événements indésirables graves liés aux soins, qu’en est-il de la connaissance du sujet chez les médecins généralistes, les pharmaciens, les infirmiers libéraux, les kinésithérapeutes... ?