Teichman PG, Caffee AE (2002) Prescription writing to maximize patient safety, Family Pract Manag. 9(7):27-30.
Insiste sur les risques liés aux distractions dans les activités de tous les jours, sur la fatigue, et les effets désastreux sur les fautes d’inattention.
Propose des stratégies pour séparer les demandes compétitives du moment de la prescription : rester simple, limiter chaque prescription à un médicament, bien entourer son nom dans la liste des médecins figurant sur l’ordonnance pour que le pharmacien puisse rappeler le bon médecin au cas où, éviter les noms de laboratoire et utiliser les noms génériques, utiliser des posologies dosages et prises très simples, pas d’abréviations, bien préciser les cas dans lesquels des prescription de type « si…, alors’ » devrait être prises et qui autorise leur prescription, spécifier clairement la durée de traitement, ajouter toute information de clarification, et signaler toutes les erreurs d’emploi.
Un très bon article mais qu’il faut lire avec le recul de la loi française. Plusieurs solutions proposées ne sont pas applicables chez nous (indications sur la pathologie du patient portées sur l’ordonnance notamment).