Le "job strain", appellation anglophone de la tension au travail, et le manque de reconnaissance sont deux facteurs qui accroissent la survenance de risques psychosociaux.
Dans une étude publiée le 19 janvier 2016, la Dares identifie les salariés qui y sont le plus exposés, les modes d'organisation du travail pouvant accentuer le risque d'exposition, ainsi que les effets sur l'état de santé des salariés.