Ces méthodes permettent de dresser une cartographie des risques.
Les méthodes a priori permettent d’évaluer le risque d’une situation de travail avant même que le système ne soit totalement déployé (phase de conception) ou, quand il est déployé, sans se baser sur une longue accumulation de retour d’expérience.
L’analyse porte sur une décomposition des processus théoriques qui composent le travail à faire.
On identifie les étapes à risques de ces processus par différentes méthodes d’estimation.
Les méthodes les plus connues sont l’APR (Analyse Préliminaire des Risques), l’AMDE (l’Analyse des Modes de Défaillances et de leurs Effets) et l’AMDEC (Analyse des Modes de Défaillances et des Criticités).
Les méthodes a postériori permettent une recherche des causes après des incidents ou des accidents. Deux méthodes sont particulièrement connues : la méthode de l’arbre des causes et la méthode ALARM (basée sur le modèle de Reason).
Pour aller plus loin : un travail remarquable et récent sur les méthodes est disponible sous la forme de 4 articles reliés entre eux, avec de nombreux exemples médicaux, et une grande simplicité et pédagogie de présentation.
Un très bon exemple didactique d’APR sur les risques au bloc opératoire a été publié par la direction régionale des affaires sanitaires et sociales de Midi Pyrénées - commission de coordination régionale des vigilances
Le texte de la HAS Principes méthodologiques pour la gestion des risques en établissement de santé reste pertinent pour une introduction générale au domaine du risque ; il est téléchargeable.
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donne la methode amdc
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